Barbèque temple et mou
Pile au-dessus d'eues
Fentes titrées d'us
Peuplées d'éloquences
Comme trop pains de soupe
Jaunâtre puis poirâtre
Froids et crus en bouche
Démolit rêves, ou foutre
Paratonnerre de grâce
S'abîme en fond de cour
Dans les abysses gazon
En forme de rond cabanon
Combien d'êtres enfouis
Se cachent au crépuscule
Esquisses d'un exquis
Sourire de chat tapit
Que le cacophone sonne
Un bip plus avant l'autre
En fin de course éteint
Victime, puis calepin
Je vous saurais gré
D'envahir ma bulle
Le temps d'une heure tardive
Bénie sans ses suies
Vol d'ifs en canyon
Passant ceintré rosé
De courgette engloutie
Tant variant contraignant
S'il arrivait qu'elle tousse
Du bas de sa frimousse
J'en tordrais de la rire
Les affres du délire
Une piste noire grillée
Carbonnée et souillante
Aigre informe et douce
De bouche pustulante
S'insurge de pelures
Grouillantes de sciures
Infligées d'anicroches
Collées scotchées pelées
Cet angle singé net
D'augustes paraboles
Souligne la rareté
Des babioles étrusquées
Par avant d'inventaire
Hurlant sa parenthèse
Roucoule en fin de vent
La parlure de sa toux
Satin tint et doux
Politement agréé
Jouissent dans les orties
D'empâlement maugréé
D'un général au total
D'une ligne là franchie
Pelletent de ces gredins
Tout ce vain raréfié
Signal d'où l'on vient
Reconnu d'arrières vues
Souffrent autour du pot
De sa chambre déjà mue
Pustule atrophiée d'eau
D'imaginations bâclées
S'éclate au crépuscule
D'une lune pampelune
Stigmate rance et pure
D'amélanchier tout su
Cousue cossue velue
Planétairement coite
D'où venez-vous tous
En ligne double épices
Paire durant la bisque
Poilées agenouillées
Pitreries avenues
Infiniment calciques
Poudres d'explicites
Au caveau déjà nées
Inspactées d'irrespect
Citres dessous train
Babioles d'infortunes
En chemin taquinées