Si vous ne faites pas partie de la solution, c'est que vous faites partie du problème, tout le monde sait ça. Le plus drôle, c'est qu'en faisant partie du problème, vous contribuez à mobiliser l'opposition au problème en vue de le résoudre. Donc au final, la destruction précède la construction, et le status quo est précurseur de l'immobilisme. À moins que ce ne soit le contraire? J'ai un doute là. Et se pourrait-il que le vrai problème vienne des salopards qui disent agir au bénéfice de la solution, tout en s'activant à alimenter le problème par derrière? À moins que les efforts de ces derniers ne se trouvent neutralisés par les traîtres qui sabotent le problème de l'intérieur!?
La preuve est alors faite. Si vous faites partie de la solution, c'est que vous faites aussi partie du problème. Et c'est tant mieux. Que vous soyez pour ou contre importe peu. Que l'autre soit pour ou contre importe encore moins. Ce qui importe, c'est de créer. Du nouveau. De l'inédit. Ou du n'importe quoi. La beauté. La pagaille. Kif kif. Je créé, donc je suis.